Non, la lutte pour la préservation de notre planète n’oppose pas la nature sauvage à l’être humain. Protéger les océans, les forêts et toutes les formes de vie qui y évoluent, c’est préserver notre propre existence. Nous n’avons pas le choix. Sauvegarder les différents écosystèmes, si fragiles et pourtant indispensables, est capital : l’enjeu nous concerne tous. Nous refusons d’offrir à nos enfants une planète inhabitable, des océans où se côtoient plus de déchets plastiques que d’être vivants, des champs stériles où plus une seule abeille ne butine.

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