À la fin du mois de juillet dernier, la Banque Européenne d’Investissement (BEI) envisageait, dans le brouillon de sa nouvelle politique de prêts en matière d’énergie, de mettre fin aux investissements dans les projets liés aux énergies fossiles. Pourtant, il semblerait que ces ambitions – indispensables à la protection du climat – aient été revues à la baisse.

Dans une lettre ouverte adressée au président de la BEI, Werner Hoyer, signée par plus de 70 signataires dont Greenpeace, celles-ci exposent leurs inquiétudes quant à la nouvelle version de la politique de prêts dévoilés à la fin du mois de septembre. La lettre est consultable à cette adresse.

2 activistes devant la BEI à Luxembourg