MONTRÉAL – En réaction à l’annonce du financement des pertes et dommages faite lors de la 28e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP28), Greenpeace Canada et Greenpeace International ont déclaré:

Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie à Greenpeace Canada a réagit:

« Nous sommes un pas plus près de concrétiser l’assistance financière dont ont besoin les communautés qui subissent le plus lourdement les conséquences de la crise climatique. Mais un fonds au strict minimum sera loin d’être suffisant, c’est pourquoi ceux qui sont les plus responsables de l’aggravation de la crise climatique doivent payer leur juste part. Le Canada, en tant que grand producteur de pétrole et de gaz, doit être le premier à contribuer et appeler les entreprises pétrolières et gazières et autres gros pollueurs à en faire autant. »

Tracy Carty, experte politique mondiale, Greenpeace International 

« Depuis trop longtemps, les communautés les moins responsables de la crise climatique subissent les conséquences les plus lourdes. Cet accord est un pas crucial pour s’assurer qu’elles reçoivent enfin le soutien vital dont elles ont besoin, mais cela reste insuffisant face au fonds essentiels qu’elles méritent vraiment. Mais d’où viendra l’argent ? Pour financer le Fonds pour les pertes et dommages, cette COP doit absolument confirmer que les pays riches, principaux contributeurs aux changements climatiques, fourniront leur juste part. Il est temps que l’industrie des combustibles fossiles, qui continue à amasser des milliards, paie pour les dégâts qu’elle a causés. »

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