La semaine dernière, Audrey a participé à une action au salon de l’auto de Francfort. Car pour elle, nous avons tous le droit de respirer un air sain. Dans ce blog, elle nous en dit plus sur ses motivations.

J’ai participé à une action en Allemagne pour la campagne “qualité de l’air et mobilité” de Greenpeace parce que l’air est la première chose dont j’ai besoin pour vivre et qu’il me semble élémentaire qu’on fasse le maximum pour le garder sain. L’Allemagne est le pays européen qui symbolise l’hégémonie de l’industrie automobile, une industrie qui nous vend depuis des années des véhicules alimentés aux énergies fossiles, des véhicules plus puissants et polluants que nécessaire. Là-bas comme ailleurs, on doit demander aux élus d’arrêter d’investir dans la destruction de notre environnement.

Je signe pour une autre mobilité

J’ai choisi l’action directe et non violente pour faire entendre ma voix

Je suis devenue volontaire chez Greenpeace il y a quelques années pour donner mon temps de manière utile et aider une association dans laquelle je crois. Dans les faits, c’est Greenpeace qui m’aide à affirmer mes idéaux publiquement.

Inscrite cette année pour commencer un cursus de biologie, je veux apprendre et comprendre le monde dont je fais partie et apporter ma contribution là où c’est possible. Depuis longtemps, je suis préoccupée par mon mode de vie et ce qu’il coûte à la nature. Ce que je lui inflige, c’est aussi à moi et à tous mes semblables que je l’impose. Et au final, c’est notre santé à tous qui en subira les conséquences.

Pour toutes ces raisons et parce que voter ne suffit pas à faire valoir ces arguments, j’ai choisi l’action directe et non violente pour faire entendre ma voix. Dans ce cas précis, j’ai agi pour pouvoir respirer un air plus sain et limiter l’impact de l’industrie automobile sur le changement climatique.

Je signe pour une autre mobilité


Facebook

Facebook

Instagram

Instagram

Twitter

Twitter

YouTube

YouTube