Il y a cinq ans, l’accord historique de Paris sur le climat a été signé. Cependant, ce fameux traité reste, à ce jour, toujours sans réponse. Afin d’exiger une politique climatique plus ambitieuse, les groupes locaux de Greenpeace agissent cette semaine dans de nombreuses villes belges.

Exactement cinq ans après l’accord de Paris, 2020 devait être l’année du climat, avec des objectifs climatiques européens plus ambitieux et, pour conclure, un important sommet international. Mais le coronavirus en a décidé autrement. Or, la crise climatique et la lutte pour la justice sociale sont trop importantes pour être mises sur pause.

Comme le souligne Greenpeace Liège : « Cité Ardente OUI Planète Ardente NON« .

En début de semaine, nous apprenions que la Belgique soutiendra la position de réduire les émissions européennes de gaz à effet de serre d’au moins 55 % d’ici 2030, mais il est évident que cela ne suffit pas. Greenpeace demande que la Belgique soutienne une réduction d’au moins 65 % d’ici 2030.

Il est crucial d’augmenter nos ambitions à tous les niveaux pour limiter le réchauffement climatique et ne pas dépasser le point décisif des 1,5°C maximum. Un message qui a également été rappelé par les groupes locaux au travers des différentes actions locales, et par une bannière placée sur la citadelle de Namur, face au parlement wallon.

La Belgique et l’Europe ont aujourd’hui la possibilité de montrer l’exemple en matière de politique climatique internationale et d’apporter des solutions pour une société plus juste et à faible émission de carbone.

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