Le 5 décembre est la Journée internationale des volontaires. Nos bénévoles sont le cœur battant de notre organisation et cela, tout au long de l’année. Au travers de témoignages de quatre de nos bénévoles, découvrez les raisons de leur engagement chez Greenpeace. Vous souhaitez agir à votre tour en tant que bénévole ?
“Apporter ma part, entreprendre et, je l’espère, changer les choses”
Silke, 19 ans, membre de Greenpeace Louvain et Greenpeace Youth : “j’ai décidé de devenir bénévole suite au Summer camp organisé par Greenpeace en 2018. C’était un peu comme un retour à la maison : un groupe merveilleux, rempli d’entrain, impatient de changer les choses. J’avais enfin trouvé mon truc et j’ai été immédiatement convaincue ! Je me suis ensuite inscrite auprès du groupe local de Louvain et, depuis peu, auprès de Greenpeace Youth. Aujourd’hui, les raisons de mon engagement sont restées inchangées : apporter ma part, entreprendre et, je l’espère, changer les choses.
La meilleure chose dans le bénévolat au sein de Greenpeace, ce sont les gens. Chaque activité permet de rencontrer de nouvelles personnes intéressantes et c’est ce qui rend cela aussi enrichissant. Je dirais donc à Greenpeace : je suis là pour encore un bon moment !”
“L’engagement des volontaires est le fondement de Greenpeace”
Matias, 48 ans, membre de Greenpeace Limbourg : “j’ai commencé comme bénévole chez Greenpeace Argentine il y a plus de 20 ans, puis j’ai travaillé comme membre d’équipage et j’ai également travaillé pendant un certain temps au bureau d’Amsterdam. A travers ces différentes perspectives, j’ai constaté que l’engagement des volontaires est le fondement de Greenpeace : ce qui lui permet de rester forte, créative et connectée avec les personnes qui ont choisi de rendre le monde aussi beau qu’il peut l’être.
L’une des premières activités que nous avons faites au Limbourg a été d’organiser une promenade en voiture et à pied, habillés comme les Pierrafeu et dans une voiture Pierrafeu, lors d’un grand festival de danse/techno. Il faisait très chaud, mais c’était très drôle. J’espère que certains des participants du festival ont compris notre message concernant l’industrie automobile qui est toujours coincée dans cette « dynamique de dinosaures ».
Et maintenant, la touche romantique ! J’ai rencontré ma femme quand j’étais à bord de l’Arctic Sunrise. Elle y était en tant que volontaire et je travaillais comme second. Nous menions une campagne contre les substances toxiques en Amérique du Sud. C’est sans doute à cause de (ou plutôt grâce à) toutes les difficultés que nous avons rencontrées pendant cette campagne que, au final, nous avons appris à nous connaître et à surmonter ces moments difficiles. Pendant notre séjour à bord, nous avons construit de véritables amitiés et nous continuons à voir de temps à autre certaines des personnes que nous avions rencontrées sur le bateau.”
“Greenpeace représente l’ensemble des valeurs qui me sont chères”
Véronique, 54 ans, membre du groupe local de Bruxelles depuis un peu plus de trois ans : “A un moment de ma vie, j’ai voulu m’impliquer davantage, de façon plus pratique, et j’ai fait quelques expériences avec des organisations humanitaires, sociales et environnementales. Je me proposais comme volontaire en fonction d’événements que je voyais sur les réseaux sociaux. Ainsi je suis devenue bénévole pour une action au Mont des Arts organisée par la Coalition Climat, et j’y ai rencontré des membres de Greenpeace. C’était justement la fin d’une journée d’accueil pour les nouveaux “volontaires », l’ambiance était super sympa. Ils m’ont offert une bière, on a discuté et je me suis dit que Greenpeace n’était pas (seulement) la grosse machine que j’imaginais mais aussi une organisation à l’échelle humaine, qui en plus représentait l’ensemble des valeurs qui me sont chères (certes l’environnement mais aussi les aspects humains, sociaux, le respect, l’inclusion). Lorsqu’une nouvelle journée d’accueil a été organisée, je n’ai pas hésité et j’y suis allée !”
“La planète mérite d’être défendue”
Arno, 24 ans, membre du groupe local de Liège : “Depuis quasi un an, j’ai ouvert les yeux et j’ai remarqué à quel point l’espèce humaine est égoïste et possessive. Possessive à un point où nous détruisons notre chère mère nature sans nous rendre compte des conséquences. Au début, je faisais des efforts pour moi-même et pour ma conscience. Mais je trouve que la cause de la planète mérite d’être bien mieux défendue et c’est pour cette raison que je suis engagé en tant que volontaire. Je suis nouveau dans ce groupe, j’espère pouvoir participer un maximum en fonction de mon temps libre. Je suis vraiment touché par la destruction des océans et de l’agriculture et ce sont surtout ces causes-là que je souhaite défendre.”
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